Ecrit après le concert de Tokio Hotel au Parc des Princes.
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Je me souviens de ces minutes de bonheur,
Chaque fois transformées en secondes.
Je sens encore tous ces frissons du début,
Et ces attentes interminables.
Je me rappelle de cette chanson à chaque fois plus belle,
Et de leurs sourires sincères.
Je n'oublierai jamais leurs yeux pétillants
Qui m'ont transmis tant de choses.
Plus jamais je ne promettrai quelque chose à propos d'eux
Car j'ai faillit à celle de ne jamais pleurer là-bas.
Ces pleurs que j'avais pourtant interdits,
Ceux qui se sont imposés.
Etre fan ça ne s'explique pas,
Le coeur prend toujours le dessus.
C'était ma promesse personnelle,
Elle n'a pas tenu.
Là-bas dans cette salle,
Les dernières secondes avant longtemps.
Là-bas à ciel ouvert,
Et ces dizaines d'explosions.
Là-bas dans ce stade,
Les pieds glissants dans la sueur.
Là-bas avec cette chanson,
Et l'envie que ça ne s'arrête jamais.
Là-bas avec leur musique,
Et ce coup de poing au coeur.
Là-bas avec Eux,
Et mes larmes.
Là-bas avec Eux,
Et mon au-revoir salé.
Là-bas avec Eux,
Sans aucun adieu.
Là-bas avec Eux,
Et ces trois mots...
ICH BIN DA
}i{
On ne t'a jamais demandé d'aimer.
C'est ton droit,
Mais ne pourris pas les fans.
Si c'était vraiment de la merde,
Les concerts seraient vides de monde,
Ils n'existeraient déjà plus.
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Je me souviens de ces minutes de bonheur,
Chaque fois transformées en secondes.
Je sens encore tous ces frissons du début,
Et ces attentes interminables.
Je me rappelle de cette chanson à chaque fois plus belle,
Et de leurs sourires sincères.
Je n'oublierai jamais leurs yeux pétillants
Qui m'ont transmis tant de choses.
Plus jamais je ne promettrai quelque chose à propos d'eux
Car j'ai faillit à celle de ne jamais pleurer là-bas.
Ces pleurs que j'avais pourtant interdits,
Ceux qui se sont imposés.
Etre fan ça ne s'explique pas,
Le coeur prend toujours le dessus.
C'était ma promesse personnelle,
Elle n'a pas tenu.
Là-bas dans cette salle,
Les dernières secondes avant longtemps.
Là-bas à ciel ouvert,
Et ces dizaines d'explosions.
Là-bas dans ce stade,
Les pieds glissants dans la sueur.
Là-bas avec cette chanson,
Et l'envie que ça ne s'arrête jamais.
Là-bas avec leur musique,
Et ce coup de poing au coeur.
Là-bas avec Eux,
Et mes larmes.
Là-bas avec Eux,
Et mon au-revoir salé.
Là-bas avec Eux,
Sans aucun adieu.
Là-bas avec Eux,
Et ces trois mots...
ICH BIN DA
}i{
On ne t'a jamais demandé d'aimer.
C'est ton droit,
Mais ne pourris pas les fans.
Si c'était vraiment de la merde,
Les concerts seraient vides de monde,
Ils n'existeraient déjà plus.