Un voile noir
Paralyse mon corps
Une épaisse fumée
Noire et brumeuse
M'empêche de penser
Empêche une humanité heureuse
Cette fatalité
Inspire par moment
Mes écrits enchantés
Et paralyse tous mes mouvements
Une vie saine et équilibrée
Ne sera jamais imaginée
Telle qu'on l'emploie
Telle qu'on la voit
Une fumée obscure
Paralyse mes buts
C'est en l'appercevant
Que j'ai enfin compris
À quel point je suis exigeant
À quel point je brise ma vie
La mort en illusion
Paraît si sombre et maléfique
Mais pour un excentrique
Elle n'est pas une abération
Mourant à petit feu
Brûlant à chaque bâtons
Je me consume peu à peu
Je cris sans raisons
Une fumée noire
Me rend si triste
Pleurant de l'intérieur
Mon temps se meurt
Pleurant pour quoi
Ne serait-ce que pour moi
J'ai la chance d'écrire
Mes souffrances et mes joies
Mes expériances et mes émois
Mais je me fais trop souffrir
Ne serait-ce que par moment
L'écriture m'exaspère
Elle n'accroit pas les sentiments
Je les perds
Une féumée dans mon corps
Crée un vide dans mon esprit
Je vais changer tout ça
Le faire pour quoi
Pour aider la société
À enfin se purifier
De tout les interdit
Que sans se soucier
Elle a franchi
Pour enfin oublier
Un homme ici
Ne fera fi
Des problème d'autruis
Plus jamais je le dis
La fumée m'apaise
Elle me plonge en bas
Si un jour je puis
Espérer changer une poignée
De malheur trop criés
Je serai haïs
Par mes pairs, mes amis
Par ces gens, tous des braves
Et j'en bave
C'est ainsi
Car on le sait
Pas de héro, jamais
Tous seront méprisés
Tous, même les sacrifiés
Cette fumée j'y reste
C'est mon imagination
Paralyse mon corps
Une épaisse fumée
Noire et brumeuse
M'empêche de penser
Empêche une humanité heureuse
Cette fatalité
Inspire par moment
Mes écrits enchantés
Et paralyse tous mes mouvements
Une vie saine et équilibrée
Ne sera jamais imaginée
Telle qu'on l'emploie
Telle qu'on la voit
Une fumée obscure
Paralyse mes buts
C'est en l'appercevant
Que j'ai enfin compris
À quel point je suis exigeant
À quel point je brise ma vie
La mort en illusion
Paraît si sombre et maléfique
Mais pour un excentrique
Elle n'est pas une abération
Mourant à petit feu
Brûlant à chaque bâtons
Je me consume peu à peu
Je cris sans raisons
Une fumée noire
Me rend si triste
Pleurant de l'intérieur
Mon temps se meurt
Pleurant pour quoi
Ne serait-ce que pour moi
J'ai la chance d'écrire
Mes souffrances et mes joies
Mes expériances et mes émois
Mais je me fais trop souffrir
Ne serait-ce que par moment
L'écriture m'exaspère
Elle n'accroit pas les sentiments
Je les perds
Une féumée dans mon corps
Crée un vide dans mon esprit
Je vais changer tout ça
Le faire pour quoi
Pour aider la société
À enfin se purifier
De tout les interdit
Que sans se soucier
Elle a franchi
Pour enfin oublier
Un homme ici
Ne fera fi
Des problème d'autruis
Plus jamais je le dis
La fumée m'apaise
Elle me plonge en bas
Si un jour je puis
Espérer changer une poignée
De malheur trop criés
Je serai haïs
Par mes pairs, mes amis
Par ces gens, tous des braves
Et j'en bave
C'est ainsi
Car on le sait
Pas de héro, jamais
Tous seront méprisés
Tous, même les sacrifiés
Cette fumée j'y reste
C'est mon imagination