Alors voila.. Il y a maintenant un peu plus d'un an que mon meilleur ami est parti.. Et pour me vider la tête, j'avais ecrit un texte de ce que j'ai vécu. J'espere qu'il sera lu :
Ce matin, j'ai ouvert la fenêtre, j'ai senti quelque chose d'étrange dans l'air... J'ai levé les yeux vers le ciel, j'ai vu la pluie tombée, et j'ai compris que quelque chose avait changé. Je ne sais pas pourquoi, j'ai tout de suite pensé à toi, j'ai attrapé le téléphone, composé ton numéro, la peur au ventre, j'ai attendu que tu décroches, mais tu ne l'as pas fait... J'avais un mauvais pressentiment, je sentais quelque chose d'étrange, des larmes coulaient le long de mes joues, je ne comprenais pas pourquoi je me mettais dans cet état, car il n'y avait rien de concret, juste ce mauvais pressentiment... Je t'ai appelé une fois, deux fois, trois fois... Tellement de fois, mais tu n'as jamais décroché... J'ai fini par appeler ta soeur, je lui ai demandé ce qu'il se passait, pourquoi tu ne décrochais pas, elle a commencé à pleurer, j'ai compris que je ne m'étais pas tromper... Elle m'a dit que, la nuit dernière, tu etais tomber, de notre Pont, de nos souvenirs. Ils se sont ecroulés, en même temps que toi... Elle m'a dis que tu étais tombé dans le coma, et qu'ils ne savaient pas si tu allais te réveiller... Je n'avais plus la force de parler, J'ai dis que je rappelerais et j'ai raccroché. Tout autour de moi s'est écroulé. J'ai repensé à tous ces moments, tous ces souvenirs, tous nos délires... Tu étais mon rayon de soleil, mon meilleur ami, on avait dit pour la vie... Mon amour, on avait dit pour toujours... Je suis allée à l'hopital, j'suis restée deux jours à ton chevet, j'passais mon temps à pleurer, à te regarder, A espérer... Mais ton coeur a fini par arrêter de battre, les infirmières, les médecins s'agitaient autour de toi, essayant en vain, de te faire revivre... Je suis sortie de cette chambre, je marchais sans but dans ce couloir blanc, les larmes brouillaient ma vue, je suis arrivée à cette fenêtre, on était au cinquième étage... J'ai regardé une dernière fois derrière moi, j'ai vu ton corps sans vie sur le lit que poussait l'infirmière, je n'ai pas réfléchi, j'ai ouvert cette fenêtre, et j'ai essayé de te rejoindre, parce que je ne suis rien sans toi. Nous etions qu'un. Je ne peut pas vivre sans toi : Tu étais mon rayon de soleil, mon meilleur ami, on avait dit pour la vie... Mon amour, on avait dit pour toujours...
Voila.
Mort incertaine, mais bien vivante :
Ce matin, j'ai ouvert la fenêtre, j'ai senti quelque chose d'étrange dans l'air... J'ai levé les yeux vers le ciel, j'ai vu la pluie tombée, et j'ai compris que quelque chose avait changé. Je ne sais pas pourquoi, j'ai tout de suite pensé à toi, j'ai attrapé le téléphone, composé ton numéro, la peur au ventre, j'ai attendu que tu décroches, mais tu ne l'as pas fait... J'avais un mauvais pressentiment, je sentais quelque chose d'étrange, des larmes coulaient le long de mes joues, je ne comprenais pas pourquoi je me mettais dans cet état, car il n'y avait rien de concret, juste ce mauvais pressentiment... Je t'ai appelé une fois, deux fois, trois fois... Tellement de fois, mais tu n'as jamais décroché... J'ai fini par appeler ta soeur, je lui ai demandé ce qu'il se passait, pourquoi tu ne décrochais pas, elle a commencé à pleurer, j'ai compris que je ne m'étais pas tromper... Elle m'a dit que, la nuit dernière, tu etais tomber, de notre Pont, de nos souvenirs. Ils se sont ecroulés, en même temps que toi... Elle m'a dis que tu étais tombé dans le coma, et qu'ils ne savaient pas si tu allais te réveiller... Je n'avais plus la force de parler, J'ai dis que je rappelerais et j'ai raccroché. Tout autour de moi s'est écroulé. J'ai repensé à tous ces moments, tous ces souvenirs, tous nos délires... Tu étais mon rayon de soleil, mon meilleur ami, on avait dit pour la vie... Mon amour, on avait dit pour toujours... Je suis allée à l'hopital, j'suis restée deux jours à ton chevet, j'passais mon temps à pleurer, à te regarder, A espérer... Mais ton coeur a fini par arrêter de battre, les infirmières, les médecins s'agitaient autour de toi, essayant en vain, de te faire revivre... Je suis sortie de cette chambre, je marchais sans but dans ce couloir blanc, les larmes brouillaient ma vue, je suis arrivée à cette fenêtre, on était au cinquième étage... J'ai regardé une dernière fois derrière moi, j'ai vu ton corps sans vie sur le lit que poussait l'infirmière, je n'ai pas réfléchi, j'ai ouvert cette fenêtre, et j'ai essayé de te rejoindre, parce que je ne suis rien sans toi. Nous etions qu'un. Je ne peut pas vivre sans toi : Tu étais mon rayon de soleil, mon meilleur ami, on avait dit pour la vie... Mon amour, on avait dit pour toujours...
Voila.