Tu tomberas avec moi,
c'est une promesse,
Dans le noir et l'obscurité,
de ce gouffre d'horreur,
Et de solitude ou tu m'as plongée,
La douce odeur de la haine,
Qui m'emplie et me pénètre jusqu'au os,
Rien que l'espoir d'une nouvelle aube,
Pour éclairer dans la pénombre,
Ton beau visage Mutilé,
Et mes mains ensanglantées,
Meurt avec moi,
Sans résister sans réfléchir,
En un instant , sans rien dire,
Je veux voir ta chair pourir avec la mienne,
Ton cadavre se décomposer contre le mien,
Souffre en silence et meurt,
Comme mourrait un muet,
Comme mourrait un fou,
Brûle, Décime toi,
Avec moi,
Consume toi,
Dans ces hautes flammes noires,
Détruit toi jusqu'au néant ,
Entre mes bras,
Dans la joie de la souffrance,
Dans la beauté du sang,
Qui coule le long de ma gorge,
Acre et amère,
Comme ton coeur ,
Comme ton âme,
Aux creux de mes bras ,
Comme un enfant,
Meurt.
c'est une promesse,
Dans le noir et l'obscurité,
de ce gouffre d'horreur,
Et de solitude ou tu m'as plongée,
La douce odeur de la haine,
Qui m'emplie et me pénètre jusqu'au os,
Rien que l'espoir d'une nouvelle aube,
Pour éclairer dans la pénombre,
Ton beau visage Mutilé,
Et mes mains ensanglantées,
Meurt avec moi,
Sans résister sans réfléchir,
En un instant , sans rien dire,
Je veux voir ta chair pourir avec la mienne,
Ton cadavre se décomposer contre le mien,
Souffre en silence et meurt,
Comme mourrait un muet,
Comme mourrait un fou,
Brûle, Décime toi,
Avec moi,
Consume toi,
Dans ces hautes flammes noires,
Détruit toi jusqu'au néant ,
Entre mes bras,
Dans la joie de la souffrance,
Dans la beauté du sang,
Qui coule le long de ma gorge,
Acre et amère,
Comme ton coeur ,
Comme ton âme,
Aux creux de mes bras ,
Comme un enfant,
Meurt.