Un jour tu m’appelas,
Mais personne ne vint vers toi.
Marre de jouer, marre de souffrir,
Alors je t’ai laissé sans un sourire.
Tu as voulu trop jouer,
Alors tu as perdu, beaucoup plus que mon amitié.
La marionnette à quitter son maître,
Comme le roi tu son valet, traitre.
Tu m’as rendu heureuse et pour sa je t’en remercie,
Mais la souffrance que tu m’as donné en échange est infinie.
Je cours loin de toi,
Même si mes pensées vont vers toi quelques fois.
Je me vengerais,
Comme jamais.
Tu as voulu jouer,
Et tu vas perdre plus que tu n’aurais pu l’imaginer.
Mais personne ne vint vers toi.
Marre de jouer, marre de souffrir,
Alors je t’ai laissé sans un sourire.
Tu as voulu trop jouer,
Alors tu as perdu, beaucoup plus que mon amitié.
La marionnette à quitter son maître,
Comme le roi tu son valet, traitre.
Tu m’as rendu heureuse et pour sa je t’en remercie,
Mais la souffrance que tu m’as donné en échange est infinie.
Je cours loin de toi,
Même si mes pensées vont vers toi quelques fois.
Je me vengerais,
Comme jamais.
Tu as voulu jouer,
Et tu vas perdre plus que tu n’aurais pu l’imaginer.