Je suis là, coucher, presque sans vie.
Je demande qu’une seule chose.
Que tu viennes caresser ma peau, encore une dernière fois.
Viens à moi, comme je suis venue à toi après toutes ces années.
Ces années passées avec toi, ranger au fond de ma poche.
Tu étais toujours là quand il le fallait.
Une souffrance qui m’apaiser.
Une souffrance que je ne partagerais.
Reviens à moi s’il te plait.
Cette fois ci sera la dernière, je te le promets.
Cette fois ci serra celle ou je sortirais vainqueur de mon combat.
Cette fois ci, sera la fin pour tout.
La mort elle-même me défie, assez lutté, elle va gagner.
Mais promet moi une chose, c’est que si je vais aux pays des rêves.
C’est que je veux que tu apaises tes souffrances en continuant tes rêves.
C’est la mort qui viendra à toi ! Et non toi qui iras chez elle.
Personne ne décide de sa mort. Ca serra toujours elle qui décidera du jour, du mois, de l’année, de l’heure, et de la minutes.
C’est la mort dite sous : « La faucheuse » qui viendra.
Je demande qu’une seule chose.
Que tu viennes caresser ma peau, encore une dernière fois.
Viens à moi, comme je suis venue à toi après toutes ces années.
Ces années passées avec toi, ranger au fond de ma poche.
Tu étais toujours là quand il le fallait.
Une souffrance qui m’apaiser.
Une souffrance que je ne partagerais.
Reviens à moi s’il te plait.
Cette fois ci sera la dernière, je te le promets.
Cette fois ci serra celle ou je sortirais vainqueur de mon combat.
Cette fois ci, sera la fin pour tout.
La mort elle-même me défie, assez lutté, elle va gagner.
Mais promet moi une chose, c’est que si je vais aux pays des rêves.
C’est que je veux que tu apaises tes souffrances en continuant tes rêves.
C’est la mort qui viendra à toi ! Et non toi qui iras chez elle.
Personne ne décide de sa mort. Ca serra toujours elle qui décidera du jour, du mois, de l’année, de l’heure, et de la minutes.
C’est la mort dite sous : « La faucheuse » qui viendra.