bal mortuaire
Dansant dans l’obscurité,
Le bruit de tes pas soignés
Dissimule l’horreur immaculée
Qui se cache dans ton esprit torturé.
Un chant mélodieux mais pourtant triste et haineux
Se dégage de ta fragile gorge déployée et tourmentée
Ah quand vas tu glisser puis tomber dans un souffle coupé ?
Ton imagination déborde, une poupée de chiffon sans yeux.
Tout comme elle t’habite ce même amour de la nuit,
Involontairement tu souris au nez de la mort qui te suit,
Ton destin glacial est relié à un fil empourprée qui luit
Ton regard suinte d’une nouvelle folie que tu fuis
Ou compte tu aller ?
Toi la poupée abandonnée
Tu te fuis, sans amour tu es enlacé ,
Par le désir excitant et vivifiant de tuer.
Tourne, tourne mécanisme ancien , mortuaire poupée dénué de cœur.
Comme il est douloureux te voir danser durant ces heures,
Ou la lamentation et le désespoir sans avertir survient.
Ta grâce et ta volupté n’est qu’un leurre,
Tu es affamé du bonheur pourtant tu ne cause que douleur.
Chante, chante boite à musique, la faucheuse te tient !.
Voila un petit poéme , j'aime écrire des poémes quand j'ai le temps, j'éspére qu'il vous plaira ses conotation auto-destructrice sont assez présente, la maladie de l'âme est un de mes sujet préféré !
Dansant dans l’obscurité,
Le bruit de tes pas soignés
Dissimule l’horreur immaculée
Qui se cache dans ton esprit torturé.
Un chant mélodieux mais pourtant triste et haineux
Se dégage de ta fragile gorge déployée et tourmentée
Ah quand vas tu glisser puis tomber dans un souffle coupé ?
Ton imagination déborde, une poupée de chiffon sans yeux.
Tout comme elle t’habite ce même amour de la nuit,
Involontairement tu souris au nez de la mort qui te suit,
Ton destin glacial est relié à un fil empourprée qui luit
Ton regard suinte d’une nouvelle folie que tu fuis
Ou compte tu aller ?
Toi la poupée abandonnée
Tu te fuis, sans amour tu es enlacé ,
Par le désir excitant et vivifiant de tuer.
Tourne, tourne mécanisme ancien , mortuaire poupée dénué de cœur.
Comme il est douloureux te voir danser durant ces heures,
Ou la lamentation et le désespoir sans avertir survient.
Ta grâce et ta volupté n’est qu’un leurre,
Tu es affamé du bonheur pourtant tu ne cause que douleur.
Chante, chante boite à musique, la faucheuse te tient !.
Voila un petit poéme , j'aime écrire des poémes quand j'ai le temps, j'éspére qu'il vous plaira ses conotation auto-destructrice sont assez présente, la maladie de l'âme est un de mes sujet préféré !