L’ambition de l’humain
S’arrêtera-t-elle un jour?
Je sais ce que vous pensez
L’humanité, elle prévaudra
La race, la race c’est quoi
C’est une idée imposée
Pour nous contrer
La race, la race c’est pas pour moi
Le but de la race est trop obscur
En fait ce qu’ils veulent
C’est tous nous perdre
La confusion est un outil des grands fachos
Si les humains doivent tous crever
Tous en même temps
Dès cet instant
C’est le moment tant espéré
Mon but à moi, le monstre affreux
C’est d’éliminer les différences
Abolir toute supériorité; l’indécence
Donner enfin la parole aux miséreux
Quel anarchiste, quel populiste
Et c’est trop vrai
La vérité, c’est que j’éprouvais
Tant de haine et de pitié
Envers l’humanité
Et ses suppôts d’individualistes
À coup de «boum!» je ressusciterai
Le peu d’espoir, de nos jours perdu
Sur mon perchoir, je l’ai aperçu
Mon marteau de Thor, ma liberté
Que d’anarchisme, que d’anarchisme
C’est mon bâton, mon outil de destruction
Celui qui ouvre et qui couvre
De honte les dits agents de la liberté
Je soulèverai, montagnes et populaces
En donnant enfin la parole aux miséreux
Misérable société
Tu ne m’auras pas
Misérable lâcheté
Elle te détruira
L’anarchie c’est notre amie
Elle réfute avec émoi
C’est avec philosophie
La race c’est pas pour moi
L’humanité, elle prévaudra.
S’arrêtera-t-elle un jour?
Je sais ce que vous pensez
L’humanité, elle prévaudra
La race, la race c’est quoi
C’est une idée imposée
Pour nous contrer
La race, la race c’est pas pour moi
Le but de la race est trop obscur
En fait ce qu’ils veulent
C’est tous nous perdre
La confusion est un outil des grands fachos
Si les humains doivent tous crever
Tous en même temps
Dès cet instant
C’est le moment tant espéré
Mon but à moi, le monstre affreux
C’est d’éliminer les différences
Abolir toute supériorité; l’indécence
Donner enfin la parole aux miséreux
Quel anarchiste, quel populiste
Et c’est trop vrai
La vérité, c’est que j’éprouvais
Tant de haine et de pitié
Envers l’humanité
Et ses suppôts d’individualistes
À coup de «boum!» je ressusciterai
Le peu d’espoir, de nos jours perdu
Sur mon perchoir, je l’ai aperçu
Mon marteau de Thor, ma liberté
Que d’anarchisme, que d’anarchisme
C’est mon bâton, mon outil de destruction
Celui qui ouvre et qui couvre
De honte les dits agents de la liberté
Je soulèverai, montagnes et populaces
En donnant enfin la parole aux miséreux
Misérable société
Tu ne m’auras pas
Misérable lâcheté
Elle te détruira
L’anarchie c’est notre amie
Elle réfute avec émoi
C’est avec philosophie
La race c’est pas pour moi
L’humanité, elle prévaudra.
