J'entends le chant
Celui des tambours
À travers le temps
On l'entend toujours
Je marche pour tout oublier
Le chant de la mort
Nous étions fort
Mais une fois ce chant entamé
Rien ne peut nous consoler
Mon bourreau est nul autre que le temps
La solitude nous prend
Ah ce chant
Trop insistant
Trop persistant
La mort contrôle mes pensées
Le mauvais présage
Reste dans les parages
Les tambours bourdonnent
Les cloches sonnent
Je ne puis que la fuir en criant
Le cortège avance en avant
Ne nous laissant pas le temps
Pour des adieux convenables
Ne nous donnant pas le cran
D'avouer notre chagrin,
Un désespoir exécrable
On le somme d'arrêter en vain
Je laisse une petite larme de compassion
Ainsi va la vie et la mort
Rien ne peut influencer votre sort
Seulement le temps et toujours
Le morbide chant des tambours
Sachant qu'un jour, pour moi, les tambours viendront
Celui des tambours
À travers le temps
On l'entend toujours
Je marche pour tout oublier
Le chant de la mort
Nous étions fort
Mais une fois ce chant entamé
Rien ne peut nous consoler
Mon bourreau est nul autre que le temps
La solitude nous prend
Ah ce chant
Trop insistant
Trop persistant
La mort contrôle mes pensées
Le mauvais présage
Reste dans les parages
Les tambours bourdonnent
Les cloches sonnent
Je ne puis que la fuir en criant
Le cortège avance en avant
Ne nous laissant pas le temps
Pour des adieux convenables
Ne nous donnant pas le cran
D'avouer notre chagrin,
Un désespoir exécrable
On le somme d'arrêter en vain
Je laisse une petite larme de compassion
Ainsi va la vie et la mort
Rien ne peut influencer votre sort
Seulement le temps et toujours
Le morbide chant des tambours
Sachant qu'un jour, pour moi, les tambours viendront