Que vienne le temps. Que sonne l’heure. Je regarde mon mégot se consumer, il va bientôt s’éteindre. Moi je vais renaître. Le vent fait danser les cendres et s’engouffre dans mes cheveux. La pluie qui tombe ne vient pas du ciel, seulement de mes yeux…
Il est temps pour moi de m’éloigner de toi ! Je sais c’est dur à accepter, mais tout aussi dur à dire et réaliser. Oui depuis que je t’ais dis « je pars », je passe mon temps à me retourné… Je crois que j’aimerais que tu me cours après et pourtant si tu le faisais je t’en voudrais… Tu m’entrave, m’enchaine, m’utilise, me perd et me blesse. Est révolu le temps où tu étais mon admiration, mon monde et mon seul rêve !
Aujourd’hui je cours, je cours sans savoir vers qui, vers quoi…
Il y’a quelque chose me concernant que je le sais, je ne comprends pas.
Non pas parce que c’est trop loin de moi, mais parce que je n’arrive pas à mettre le doigt dessus !
Je ne suis pas morte et enterrée, mais parfois je le voudrais…
Je ne suis pas un cœur gelé ni même une p*** !
Je souffre d’une maladie méconnue appelé « Grandir dans un monde de merde »,
Je ne fais qu’ajouter ma propre tristesse au délire
Pourquoi ne pas m’oublier moi-même ?
Pourquoi ne pas détendre ma nuque ?
Il faut que je trouve quelque chose à faire
Un put**** de rêve…
Je dois prendre ma douleur et la transformer en acier inoxydable.
Je ne dois pas arrêté de l’affuter.
Pour tracer mon chemin selon ce que je ressens.
Je ne dois pas abandonner,
Ni faire l’imbécile.
Je ne me rendrais JAMAIS !!!!!!
Je ne suis pas morte et enterrée…
Car je suis sa fille…
Juste une larme, coulant sans que personne ne la voie. J’ai un écho dans la tête celui de mes cris, pour la plus part silencieux… Mais quand par miracle, un de mes hurlements se fait audible, à aucun instant il n’obtient de réponse. Le monde entier se fait sourd, et remue le couteau qui se plait à agrandir ma plaie… Je reste fière, chaque instant de ma sombre existence, même lorsque que ce monde me traite de sorcière.
C’est ce même monde qui parfois vient me parler d’humanité, ce monde-là qui vient me dire comment je devrais vivre. Je voudrais bien lui dire m**** mais je suis épuisée, plus capable de rien. Inerte, je n’ais plus ni force, ni ressource.
Un à un, les gens m’oublient, me délaissent et je redeviens l’ombre qu’au final je n’ais jamais cessé d’être.
Pourquoi vouloir avancer, si les autres me font reculer. Je n’ais plus rien à défendre… Alors que mes cris se perdent dans le vide de l’horizon. Et qu’il en soit ainsi jusqu'à ce que je sois totalement vide, que je sombre dans l’enfer de l’éternel devenant se désert de sentiment que je n’aurais jamais du cesser d’être.
Il est temps pour moi de m’éloigner de toi ! Je sais c’est dur à accepter, mais tout aussi dur à dire et réaliser. Oui depuis que je t’ais dis « je pars », je passe mon temps à me retourné… Je crois que j’aimerais que tu me cours après et pourtant si tu le faisais je t’en voudrais… Tu m’entrave, m’enchaine, m’utilise, me perd et me blesse. Est révolu le temps où tu étais mon admiration, mon monde et mon seul rêve !
Aujourd’hui je cours, je cours sans savoir vers qui, vers quoi…
Il y’a quelque chose me concernant que je le sais, je ne comprends pas.
Non pas parce que c’est trop loin de moi, mais parce que je n’arrive pas à mettre le doigt dessus !
Je ne suis pas morte et enterrée, mais parfois je le voudrais…
Je ne suis pas un cœur gelé ni même une p*** !
Je souffre d’une maladie méconnue appelé « Grandir dans un monde de merde »,
Je ne fais qu’ajouter ma propre tristesse au délire
Pourquoi ne pas m’oublier moi-même ?
Pourquoi ne pas détendre ma nuque ?
Il faut que je trouve quelque chose à faire
Un put**** de rêve…
Je dois prendre ma douleur et la transformer en acier inoxydable.
Je ne dois pas arrêté de l’affuter.
Pour tracer mon chemin selon ce que je ressens.
Je ne dois pas abandonner,
Ni faire l’imbécile.
Je ne me rendrais JAMAIS !!!!!!
Je ne suis pas morte et enterrée…
Car je suis sa fille…
C’est ce même monde qui parfois vient me parler d’humanité, ce monde-là qui vient me dire comment je devrais vivre. Je voudrais bien lui dire m**** mais je suis épuisée, plus capable de rien. Inerte, je n’ais plus ni force, ni ressource.
Un à un, les gens m’oublient, me délaissent et je redeviens l’ombre qu’au final je n’ais jamais cessé d’être.
Pourquoi vouloir avancer, si les autres me font reculer. Je n’ais plus rien à défendre… Alors que mes cris se perdent dans le vide de l’horizon. Et qu’il en soit ainsi jusqu'à ce que je sois totalement vide, que je sombre dans l’enfer de l’éternel devenant se désert de sentiment que je n’aurais jamais du cesser d’être.