Mon nom fût abandonné, oublié, ils m’appelaient « elle » ou bien « la fille ». Leur problème : je suis différente.
Je me souviens de ce lundi pluvieux comme l’un des pires et des meilleurs de ma vie. Le pire, parce que des gens que je pensais être des amis me trainaient dans la boue… Ils se sont jetés sur moi. J’étais si vexée et blessée, que je n’eu ni l’envie, ni même la force de me défendre et de me relevée… J’étais en mauvais état physique et mental. Les gens autour de nous riaient, me montrant du doigt.
Tous ? Non ! Pas vous, pas vous quatre. Vous m’observiez à l’instant même où je voulais disparaitre. Je me suis relevé j’en m’en souviens, parce qu’après sous la pluie je suis allé m’asseoir contre le mur gardant la tête baissé comme une enfant vaincu…
Je vis alors une main se tendre et fît, par fierté je crois, semblant de ne pas la voir. Mais alors, elle se posa sur ses épaules. J’ai relevé la tête, et tu étais là. Accroupie devant moi. Tu souriais. Mes yeux se baissèrent, mais tu as pris ma tête entre tes mains pour m’obligé à te regarder, et tu as dis « Ne t’inquiète pas tu n’es pas seule, mais n’abandonne pas comme ça». Depuis ce jour, Maxime je ne cesse de penser à toi !
Aujourd’hui, ce jour était il y’a quatre ans. En ce jour cela fait plus d’un an que tu nous a quitté, mais de là où tu es ne t’en fais pas pour moi, Justin, Thomas et ton frère veillent toujours sur moi.
Mais ce soir, rien ne va… Alors je bois un verre. Je bois a votre santé a tout les quatre, en pensant qu’il me tarde que je puisse te retrouvée…
Ami-Calmant, My dear Maxime.
Je me souviens de ce lundi pluvieux comme l’un des pires et des meilleurs de ma vie. Le pire, parce que des gens que je pensais être des amis me trainaient dans la boue… Ils se sont jetés sur moi. J’étais si vexée et blessée, que je n’eu ni l’envie, ni même la force de me défendre et de me relevée… J’étais en mauvais état physique et mental. Les gens autour de nous riaient, me montrant du doigt.
Tous ? Non ! Pas vous, pas vous quatre. Vous m’observiez à l’instant même où je voulais disparaitre. Je me suis relevé j’en m’en souviens, parce qu’après sous la pluie je suis allé m’asseoir contre le mur gardant la tête baissé comme une enfant vaincu…
Je vis alors une main se tendre et fît, par fierté je crois, semblant de ne pas la voir. Mais alors, elle se posa sur ses épaules. J’ai relevé la tête, et tu étais là. Accroupie devant moi. Tu souriais. Mes yeux se baissèrent, mais tu as pris ma tête entre tes mains pour m’obligé à te regarder, et tu as dis « Ne t’inquiète pas tu n’es pas seule, mais n’abandonne pas comme ça». Depuis ce jour, Maxime je ne cesse de penser à toi !
Aujourd’hui, ce jour était il y’a quatre ans. En ce jour cela fait plus d’un an que tu nous a quitté, mais de là où tu es ne t’en fais pas pour moi, Justin, Thomas et ton frère veillent toujours sur moi.
Mais ce soir, rien ne va… Alors je bois un verre. Je bois a votre santé a tout les quatre, en pensant qu’il me tarde que je puisse te retrouvée…
Ami-Calmant, My dear Maxime.