Alors, bonsoir , ce midi je m'ennuyais alors au lieu de manger j'ai voulu écrire.. Et soudain ! Une histoire , un univers , des idées sont apparues ! J'ai aussi repenser à la Photo de lymie qui me rappelais les veuves..
Voyez la suite .. Une nouvelle de mon crue. Enfin , une nouvelle , je compte la réaliser à partir de ça , donc je posterais toutes les parties de ma nouvelle , ici , donc , j'espère que ça vous plairas.
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La saison était fraîche pour un simple automne.
Le brouillard était dense dans cette région forestière du nord de l'Ecosse.
Parmi les conifères et les arbres décharnés, on distinguait une toiture, noircie par l'humidité,bâclée et salie par le temps. La maison qui apparaissait ainsi entre cette étendue verte, était d'un charme unique.
Bien que les volets étaient vacants, la peinture effritée, les murs fissurés et les carreaux brisés qui donnait enfin sur une pièce abandonnée , aux murs tapissés de journaux vieillis par le temps. Elle avait un style. Le style que l'on nome "Manoir" , un manoir fin 1800 aux accents Italien de grande noblesse.
En descendant le lierre mort accroché au mur de la battisse, on remarquait un jardin. Bien entendue dame nature avait pris possession de cette endroit , la végétation y était dense et fournie. Chaque parcelles du terrain était envahi par des hautes herbes séchés par le vent et bien d'autres plantes de mauvaise augure.
Le jardin, tout de même gardait un charme. On apercevais à travers les herbes hautes et les orties, une balanceoir rongée par l'oxydation, qui tanguais par la douce brise du vent. Un chemin a peine visible, composé de dalles en vieux marbre, partait de la porte d'une armature arrondie qui autre fois accueillais le soleil lors de grands repas en tant que véranda. Il ne lui restait que des bouts de verres, brisé par le temps, arnaché dans une ossature rouillé. Ce petit chemin, caché partiellement par la végétation abondante du jardin, les dalles quasiment embourbées dans la terre, laissait deviner le chemin vers une barrière végétale.
Si on soulevait les quelques branches de ces Saul pleureur en abondance, nous nous retrouverons face à une étendue d'environ cinq-cent mètres, sous des tapis de feuilles mortes qui laissait entrevoir les nombreuse saisons passés. On suivais le chemin de marbre qui ce divisait. Une des directions, s'arrêtait à un ancien ponton croulant sous le poids des années, les pieds embourbés dans la vase foisonnante d'un bassin. Un lac était dressé là, certes presque rendu invisible par l'amas de feuilles flottant sur ses eaux. L'eau était entre le noir et le vert foncé, et au centre de celui-ci. On voyait un faisceau de lumière projeté entre le dôme naturel que formait les amas de feuilles des branches des Saul, qui illuminait l'eau. L'autre direction, s'arrêtait devant un bâtiment finement ouvragé, orné de phrases en latin. Fissuré de toutes parts et inondé par la mousse. Entres les branches vieillies, on apercevait des cadres encastré dans les murs de pierres, le verre verdis de crasse. On pouvait y voir un homme au visage figé et tiède, ne laissant apparaitre aucune émotion, les yeux vitreux, pâles avec une moustache au style vieillot et dépassé. Il était vraisemblablement vêtu d'un uniforme de militaire à galon. En tournant à côté de ce pan de mur, on y découvrait une entrée qui s'enfonçait sur trois ou quatre mètres dans le sol, condamné par une grille rouillée, farouchement cadenassée. Sur une partie visible de la pierre, en haut de cette grille, on distingue des inscriptions gravés dans la pierre. On lisait : "VARGANT - CRYPT" avec une croix en bois ancien planté en dessous dans la roche.
Des bruits de moteur se firent entendre. Une chevrolet Impala de couleur noire, entra dans le domaine , écrasant au passage des plantes morte depuis des décennies. La voiture s'arrêta devant le manoir. Les quatre portes s'ouvrirent presque en même temps. Le débarquement de quatre personnes chamboula le terrain.
Un homme s'écria :
"- Hé hé les amis , elle est pas belle la vielle baraque VARGANT ???"
Ainsi, les quatre personnes se dirigèrent vers la porte d'entrée et entrèrent d'un pas décidé mais frêle. La porte se referma.
Qui sont-ils , quel est leurs but , quels mystères nous réserve cette maison ?
A suivre.
Voyez la suite .. Une nouvelle de mon crue. Enfin , une nouvelle , je compte la réaliser à partir de ça , donc je posterais toutes les parties de ma nouvelle , ici , donc , j'espère que ça vous plairas.
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Ghost Going Down.
La saison était fraîche pour un simple automne.
Le brouillard était dense dans cette région forestière du nord de l'Ecosse.
Parmi les conifères et les arbres décharnés, on distinguait une toiture, noircie par l'humidité,bâclée et salie par le temps. La maison qui apparaissait ainsi entre cette étendue verte, était d'un charme unique.
Bien que les volets étaient vacants, la peinture effritée, les murs fissurés et les carreaux brisés qui donnait enfin sur une pièce abandonnée , aux murs tapissés de journaux vieillis par le temps. Elle avait un style. Le style que l'on nome "Manoir" , un manoir fin 1800 aux accents Italien de grande noblesse.
En descendant le lierre mort accroché au mur de la battisse, on remarquait un jardin. Bien entendue dame nature avait pris possession de cette endroit , la végétation y était dense et fournie. Chaque parcelles du terrain était envahi par des hautes herbes séchés par le vent et bien d'autres plantes de mauvaise augure.
Le jardin, tout de même gardait un charme. On apercevais à travers les herbes hautes et les orties, une balanceoir rongée par l'oxydation, qui tanguais par la douce brise du vent. Un chemin a peine visible, composé de dalles en vieux marbre, partait de la porte d'une armature arrondie qui autre fois accueillais le soleil lors de grands repas en tant que véranda. Il ne lui restait que des bouts de verres, brisé par le temps, arnaché dans une ossature rouillé. Ce petit chemin, caché partiellement par la végétation abondante du jardin, les dalles quasiment embourbées dans la terre, laissait deviner le chemin vers une barrière végétale.
Si on soulevait les quelques branches de ces Saul pleureur en abondance, nous nous retrouverons face à une étendue d'environ cinq-cent mètres, sous des tapis de feuilles mortes qui laissait entrevoir les nombreuse saisons passés. On suivais le chemin de marbre qui ce divisait. Une des directions, s'arrêtait à un ancien ponton croulant sous le poids des années, les pieds embourbés dans la vase foisonnante d'un bassin. Un lac était dressé là, certes presque rendu invisible par l'amas de feuilles flottant sur ses eaux. L'eau était entre le noir et le vert foncé, et au centre de celui-ci. On voyait un faisceau de lumière projeté entre le dôme naturel que formait les amas de feuilles des branches des Saul, qui illuminait l'eau. L'autre direction, s'arrêtait devant un bâtiment finement ouvragé, orné de phrases en latin. Fissuré de toutes parts et inondé par la mousse. Entres les branches vieillies, on apercevait des cadres encastré dans les murs de pierres, le verre verdis de crasse. On pouvait y voir un homme au visage figé et tiède, ne laissant apparaitre aucune émotion, les yeux vitreux, pâles avec une moustache au style vieillot et dépassé. Il était vraisemblablement vêtu d'un uniforme de militaire à galon. En tournant à côté de ce pan de mur, on y découvrait une entrée qui s'enfonçait sur trois ou quatre mètres dans le sol, condamné par une grille rouillée, farouchement cadenassée. Sur une partie visible de la pierre, en haut de cette grille, on distingue des inscriptions gravés dans la pierre. On lisait : "VARGANT - CRYPT" avec une croix en bois ancien planté en dessous dans la roche.
Des bruits de moteur se firent entendre. Une chevrolet Impala de couleur noire, entra dans le domaine , écrasant au passage des plantes morte depuis des décennies. La voiture s'arrêta devant le manoir. Les quatre portes s'ouvrirent presque en même temps. Le débarquement de quatre personnes chamboula le terrain.
Un homme s'écria :
"- Hé hé les amis , elle est pas belle la vielle baraque VARGANT ???"
Ainsi, les quatre personnes se dirigèrent vers la porte d'entrée et entrèrent d'un pas décidé mais frêle. La porte se referma.
Qui sont-ils , quel est leurs but , quels mystères nous réserve cette maison ?
A suivre.