A mon avis, ca ne va pas plaire à certain.
Mais je m'en fou. Après dîtes ce que vous voulez.
_____________
Un jour …
Ce jour …
Tu pensais être drôle.
Oui drôle comme tout le monde.
Mais toi ta blague n’a pas fais rire tout l’monde.
Tu m’as envoyé un message à moi.
Moi qui étais soit disant ta copine ?!
Ton message …
Plus que blaissant.
Horrible :
C’est fini entre nous deux.
Sa ne peut pas marcher.
Adieu.
Reflexe de ma part : Relire le message.
M’assurer que je lis bien …
Malheureusement c’est le cas.
Je prend ma confidante la plus precieuse après toi.
Mais bien sur …
Tu n’as plus rien a faire dans ma vie.
Elle passe donc la première.
Je file dans mon endroit.
Mon endroit à moi.
Je m’assois sur le rebord de la beignoire, prend ma lame.
La sert fort dans ma main.
Quelques goûtes de sang s’échapent.
Je la pose délicatement sur mon bras.
Et y presse de toutes mes forces.
La faisant glisser sur mon bras.
Tout le long de mon bras.
Arriver à la pliure du bras, j'appuie encore plus fort …
Histoire de percer cette veine …
Cette veine qui sert au prise de sang.
Que j’aime ces moments …
Avec le peu de force qui me reste je fais la même chose de l’autre coté.
Le bain chaud derrière moi que j’avais préparer.
Pour bien commencer ma journée.
Ne ferra que m’acceuillir a bras ouvert …
Cette eau trop clair a mon goût vient s’embellir avec ce liquide rougâtre.
Un bain rouge …
Rouge sang.
On n’en voit plus mon corp.
Entièrement habillé, mais habit vienne aspirer cette couleur.
Avant habillé de blanc …
Maintenant rouge.
Mon corps a disparu dans cette substance …
Voilà ma mort.
Suite a un message.
Tu t’es enfin décider de t’inquièter de mon cas ?
Non non …
Juste un message :
POiiSON D’AVRiiL, mon cœur.
Je t’aime de trop, pour t’quitter comme sa …
Et oui 1 er Avril …
C’est vrai qu’on fait des blagues à tue têtes.
Est-ce une plaisanterie de rigoler avec la santé, et les sentiments des autres ?
Pour moi non.
Il peut y avoir des suites a ces actes.
Pas de réponse a ton message ?
Me connaissant tu commences a t’inquiétés.
C’est facile ca.
Tu m’as fais mal, c’est fini.
Le portable vibre sur le lababot …
Plus aucune force, ni aucune envie de décrocher.
Un quart d’heure plus tard …
Presque trop tard.
Presque oui, tu as reussi a v’nir jusqu'à cher moi.
Presque oui, tu as reussi a v’nir frapé contre ma porte de salle de bain.
Tu me connais.
De trop même …
Tu sais impertinemment de ce que je suis capable de faire dans ma salle fetich’.
Enfermée a clef.
1 coup …
2 coups …
3 coups …
Tu défonces la porte.
Mais il est trop tard.
Tu a presque reussi.
Je dis bien presque.
Parce que tu vois ?
Mon corps est sans vie.
Mais mon âme remplie.
Je t’aime.
Mais toi tu as joué avec mes sentiments.
Crève.
Mais je m'en fou. Après dîtes ce que vous voulez.
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Un jour …
Ce jour …
Tu pensais être drôle.
Oui drôle comme tout le monde.
Mais toi ta blague n’a pas fais rire tout l’monde.
Tu m’as envoyé un message à moi.
Moi qui étais soit disant ta copine ?!
Ton message …
Plus que blaissant.
Horrible :
C’est fini entre nous deux.
Sa ne peut pas marcher.
Adieu.
Reflexe de ma part : Relire le message.
M’assurer que je lis bien …
Malheureusement c’est le cas.
Je prend ma confidante la plus precieuse après toi.
Mais bien sur …
Tu n’as plus rien a faire dans ma vie.
Elle passe donc la première.
Je file dans mon endroit.
Mon endroit à moi.
Je m’assois sur le rebord de la beignoire, prend ma lame.
La sert fort dans ma main.
Quelques goûtes de sang s’échapent.
Je la pose délicatement sur mon bras.
Et y presse de toutes mes forces.
La faisant glisser sur mon bras.
Tout le long de mon bras.
Arriver à la pliure du bras, j'appuie encore plus fort …
Histoire de percer cette veine …
Cette veine qui sert au prise de sang.
Que j’aime ces moments …
Avec le peu de force qui me reste je fais la même chose de l’autre coté.
Le bain chaud derrière moi que j’avais préparer.
Pour bien commencer ma journée.
Ne ferra que m’acceuillir a bras ouvert …
Cette eau trop clair a mon goût vient s’embellir avec ce liquide rougâtre.
Un bain rouge …
Rouge sang.
On n’en voit plus mon corp.
Entièrement habillé, mais habit vienne aspirer cette couleur.
Avant habillé de blanc …
Maintenant rouge.
Mon corps a disparu dans cette substance …
Voilà ma mort.
Suite a un message.
Tu t’es enfin décider de t’inquièter de mon cas ?
Non non …
Juste un message :
POiiSON D’AVRiiL, mon cœur.
Je t’aime de trop, pour t’quitter comme sa …
Et oui 1 er Avril …
C’est vrai qu’on fait des blagues à tue têtes.
Est-ce une plaisanterie de rigoler avec la santé, et les sentiments des autres ?
Pour moi non.
Il peut y avoir des suites a ces actes.
Pas de réponse a ton message ?
Me connaissant tu commences a t’inquiétés.
C’est facile ca.
Tu m’as fais mal, c’est fini.
Le portable vibre sur le lababot …
Plus aucune force, ni aucune envie de décrocher.
Un quart d’heure plus tard …
Presque trop tard.
Presque oui, tu as reussi a v’nir jusqu'à cher moi.
Presque oui, tu as reussi a v’nir frapé contre ma porte de salle de bain.
Tu me connais.
De trop même …
Tu sais impertinemment de ce que je suis capable de faire dans ma salle fetich’.
Enfermée a clef.
1 coup …
2 coups …
3 coups …
Tu défonces la porte.
Mais il est trop tard.
Tu a presque reussi.
Je dis bien presque.
Parce que tu vois ?
Mon corps est sans vie.
Mais mon âme remplie.
Je t’aime.
Mais toi tu as joué avec mes sentiments.
Crève.