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Tu ne vois pas les larmes qui coulent derrière mon masque de fer. Tu ne me comprends pas et de toute façon, je suis prisonnière d'une solitude que tu ne peux comprendre. Je ne veux pas en parler. M'aimes-tu réellement ? On rigole, on se taquine mais on se blesse mutuellement. En fin de compte, vivons au jour le jour. Tout fou le camps d'une vitesse affolante. On aimerait venir dans le passé et rattraper la personne que l'on a perdu. Effacer des mots qui blessent. Il est trop tard, maintenant la souffrance nous fait grandir. Ça fait trop mal.